Choisir son nom n’est pas anodin quand on décide de se lancer. On cherche, on tergiverse. Une tâche plus difficile qui n’y paraît. C’est celui qui nous ressemble qui finit par rester – pour moi, Another Please. Une touche d’anglais, langue de mes plus grandes aventures personnelles. Mais surtout un clin d’oeil à mon grand-père, peu expansif, pour qui «tu peux en refaire» était le plus beau des compliments en cuisine. Car quoi que l’on crée, quoi que l’on partage, Another Please sonne comme un élan d’enthousiasme, une générosité partagée, une promesse de fidélité.